Lope soumize de la Divine Ava Brown

 

Divine Maîtresse Ava Brown est imprévisible du haut de son pouvoir, un simple ordre peut vous glacer les os !! Ce ton de voix, ce charisme, ce regard ne font de moi qu’une simple larve qui se tait et exécute.

 

 

 

Mais ne sachant pas a quel sort j’allais être mangé, la peur me montait en me dirigeant dans ce petit espace clos en style de couloir qu’était votre salle de bain. Je me disais que j’allais recevoir soit une douche dorée ou bien encore une correction pour mes manques durant cette soirée, j’étais loin de penser à ce qui allait m’arriver.

 

 

 

La porte entre ouverte laissa à votre cousine tout le plaisir de voir quelle cochonne obéissante vous avez fait de moi, à quatre pattes au milieu de ce couloir mon cul toujours en  string et plugée, j’attendais votre venue, le cœur serré j’essayais de me détendre afin d’apprécier ce long travail de dilatation. Mais de plus en plus peureuse la tête à même le sol d’une seule phrase vous m’aviez complètement déstabilisée.

 

 

 

Tout à coup la porte s’ouvra, «  Toi tu avances, tu restes à quatre pattes et tu ne bouges pas !!!» «  Avance je t'ai dis tu es sourde ?!! » «  Et tu me lèves ce plug !! »

 

Je trémoussais mon fion pour avancer d’un mètre afin de me positionner bien au milieu de la pièce et vous laissez libre mouvement. A cet instant je ne savais toujours pas à quelle « sauce » j’allais être mangé, mais une profonde excitation mêlée à la peur me parcourait le corps.

 

 

 

Toujours la tête à même le sol comme une bonne chienne je sentis votre main gantée de latex, un doigt me viola mon trou déjà bien ouvert depuis le temps, un petit va et vient finit de l’ouvrir.

 

Je senti alors  une fraîcheur me parcourir les parois extérieures de mon cul, de temps en temps vous mettiez un doigts dans ma grotte afin de me garder ouverte.

 

C’était une sorte de pommade à la fois fraîche et assez piquante, mais la douleur était supportable pour le moment bien que je sois très sensible, oui j’ai beau être une sacrée cochonne anale, je ne peux utiliser n’importe quel lubrifiant sous peine de terrible brûlure.

 

 

 

Je vous sentie amusée et satisfaite de ce début de travail sur votre chienne, cette pommade se faisant de plus en plus urticante je grognais et me trémoussais dans tous les sens. « Reste en place ce n’est pas fini chienne !! ». La douleur montait, j’avais les parois anales tendues à leur maximum, je les sentais s’ouvrir et se resserrer, ça me brûlait partant de l’extérieur du cul pour me trouer avec force.

 

 

 

J’étais de nouveau enculée, toujours cette même impression de fraîcheur au début tout du moins. Puis  brûlure, pas la peine d’essayer de serrer les muscles ça soulage certes sur le moment mais la sentence se fait bien plus sentir le relâchement venant !!!

 

 

 

Je vous suppliais alors de ne pas me tartiner et me fourrer de ce que je croyais être de l’harissa. Vous me rassura en me disant que ce n’était pas cela et je vous rappelai quand même ma sensibilité anale. Vous aviez l’idée en tête de fourrer au plus profond la chienne que je suis.

 

 

 

Rebelote, j’étais de nouveau pleine, mes entrailles me travaillaient, la chaleur me forcait à garder ouvert mon puit à merde. Petit à petit une force faisait son chemin partant des parois anales extérieures, pour se regrouper telle une flèche et ainsi violer mon trou pour enfin m’envahir le postérieur et exploser tout entier dans mon corps.

 

 

 

La chaleur se dissipa de moins en moins, j’avais l’impression de brûler de l’intérieur, des picotements acides me couler dans le cul.

 

 

 

Je vous demandais alors de quoi il s’agissait, heureuse et amusée de votre travail, vous m’avez avoué que c’était de la mayo et que j’avais le cul rempli de cornichons… « Tu veux arrêter ou tu fais plaisir à tas Maîtresse, il n’en reste plus beaucoup ?!! »

 

 

C’est quasiment sanglotante que je vous ai représenté mes fesses luisantes et baveuses, là je me suis bien faite fourrée par un extincteur mais c’est vos divins doigts qui ont fait encore rentrer ces petits cucurbitacés au plus profond de moi afin de me rappeler que même accompagnée, dans le moindre endroit, à n’importe quel moments du haut de votre pouvoir vous sauriez me remettre à ma place et faire de moi votre chose. J’étais fière de souffrir ainsi pour vous…

 

 

 

 

A chaque pénétration je grognais telle une chienne, je tremblais tellement j’avais l’intérieur qui brûlait, j’essayais de calmer cette chaleur en soufflant de plus en plus fort, « chut reste calme chienne, y a du monde dans le salon !! ». Oui vous me rappelez la situation, votre cousine étant dans le salon, moi là, telle une salope à 4 pattes croupe tendue pleine de votre sauce maison, Mayo cornichon !!

 

Vous m'avez claqué le cul en me disant  « c’est bien chienne, maintenant tu vas pouvoir aller te vider, et ainsi penser à moi chaque fois que tu en expulseras un… »

 

 

 

Verte de honte je suis donc allé sur vos wc et ainsi faire sortir ce trop plein de chaleur qui me remplissait le corps depuis pas mal de temps maintenant. Aux premières poussées une espèce d’huile de vidange blanchâtre sortie, puis viens le tour de mes visiteurs du soir de sortir, là je vous sentis me travailler de l’intérieur du corps, comme votre puissance me traversant le colon me grattant l’intestin…brûlant tout sur son passage. Je crois que c’est bien là que vous vouliez en arriver, faire sentir à la pute que je suis la diversité de votre joug, votre sadique créativité… Chance à moi vous ne m’avez pas demandé de les recueillir pour en faire mon petit déjeuner…

 

 

 

Je me vidai et essuyai ma chatte poisseuse pendant de longues minutes, avant de vous rejoindre dans le salon tête baissée et honteuse, mais tellement fière de vous appartenir et vous subir quelques soit lieux ou moments…

 

 

 

Je vous remercie Divine Ava Brown de m’avoir montré le chemin de la vie à vos côtés, de m’éduquer afin de n’être que plus heureuse tous les jours même si maintenant loin de vous .

 

 

 

Respectueusement

 

 

 

Jennifer Lope Z

 

 

Erog voulant m'enterrer en publiant des pubs ici sur un simple espace de création et mon compte Facebook étant de nouveau bloqué pour 30 jours, mais non ce blog n'est pas mort !! 

Non ce blog n’est pas mort… DE vous avoir rencontrée, la vie vous m’avez donnée.

Un manque de temps, un éloignement de vous, justifie le petit nombre d’article en ce moment. A vos pieds je vous ai aimé, je n’arrêterais donc jamais.

Vous savoir si loin m’attriste mais me comble vous sachant heureuse et comblée.

Comme vous me le demandez et pour me rappeler de bons souvenirs, vous m’avez prié de restituer ici une soirée passée avec vous, enfin devrais- je dire remplie par vous …

 

Le week-end venu, viens le temps de l’amusement. Vous aviez alors décidé que nous irions rejoindre votre cousine pour une soirée en extérieur… Dans la tête je me disais alors mince je ne pourrais pas vous servir, vous contempler c’était sans connaître la suite des évènements…

 

Avant de partir vous m’avez fait baisser mon string devant vous et demandé de me remplir mon trou à plaisir d’un plug de 4 cm de large. En bonne salope accompagnatrice je m’exécutai, comme ci ce dernier aller me rappeler ma soumission envers vous et ce même en dehors de votre donjon.

 

C’est le cul gras et surtout rempli que j’ai fais  le chemin afin de trouver, non sans mal cette soirée. Chaque mouvement de terrain me rappelait ma condition de salope anale près de vous. Vous vous amusiez tantôt à m’utiliser comme cendrier tantôt à me faire lécher vos divins pieds le tout en conduisant.

 

Le trajet dura à peut près une heure et enfin nous trouvions la soirée, et vous vous retrouvia votre complice cousine. Je vous attendais alors dans la voiture, fumant cigarette sur cigarettes comme pour essayer d’inspiré un peu d’air et ainsi me dilater le corps alors que mon cul se faisait travailler par ce bout de plastique dur. En gourmande anale que je suis j’ai déjà pris bien plus que 4 cm de large dans le cul, mais voyant le monde défilé devant moi, et ainsi rempli je me crispais.

Pour diverses raisons la soirée elle-même ne durera pas bien longtemps et nous rentrions chez vous accompagnés de votre cousine.

 

Je ne savais pas que cette dernière était au courant de votre travail, de votre contrôle sur les lopes comme moi. Je restais donc prudente et sans mots pendant de longues minutes. Je m’en suis même demandais s’il ne fallait pas que je rentre directement. Mais en vous contactant j’ai fait honneur de vous servir et j’ai remis à vos pieds ma vie d’homme en ne devenant que votre chienne. Je vous remercie du privilège que vous avez bien voulu me laisser en me dressant et corrigeant selon vos désirs.

 

Une fois rentré je vous ai servie et vous m’avez rappelé la place, même devant cette jeune inconnue pour moi. C’est donc avec rougeur et honte que je me suis mis en string à 4 pattes le cul rempli et ouvert afin de  soulager vos jambes en vous servant de reposes pieds.

 

Vous discutiez avec votre cousine pendant que moi tête baissée je n’étais que votre merde ne me relevant que pour resservir vos verres ou alors vous masser les pieds. Mais vain mon tour, et vous décida alors de m’épiler le dos avec les bandes de cire froide que je vous avais menée. Oui en tant que soumise je me devais d’être lisse et ce même sur le verso de mon corps. Avec chance vous avez épargné mes jambes et mes bras.

 

De votre sadisme sans limite j’ai eu le privilège de vos mains étalent sur mon corps ces bandes préalablement chauffées par votre complice du soir. Vous tiriez sans retenue, ne laissant échapper aucun poil. Je sentais ma peau se soulever à chaque coup de boutoir, ne craignant que celle-ci ne s’arrache et parte en lambeau.

 

Ce calvaire dura de longues minutes mais vous avez fait de mon dos une peau de bébé. Dans votre grande bonté vous avez même nettoyé le surplus de cire avec les lotions fournies.

Oui moi aussi j’ai préféré me sentir lisse et ainsi offerte, que recouverte de cette horrible toison de poils. A vos cotés je ne suis que chienne docile et ce manteau n’a donc pas sa place.

 

L’heure se faisant tardive je croyais que nous allions nous coucher sur le matelas que vous m’aviez demandé de descendre. Mais par surprise vous m’avez ordonné « toi tu filles dans la salle de bain !! »